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L’été c’est une période de « nonchalance bien avouée ». Et en ce qui me concerne, ça se voit clairement sur le plan vestimentaire (t-shirts, shorts de tissus légers et sandales). Mais lorsque les premières mesures de l’automne se font entendre, que le froid revient et qu’il y a plus de feuilles au fond de la piscine que dans les arbres, il est normal que la déception survienne.
Ce qui m’attire de Chicago ? Ces histoires de la mafia italienne avec ses personnages plus grands que nature (tel Al Capone) au style vestimentaire marquant des années ’20 (costume trois-pièces, bretelles et mouchoir de poche).
Je suis dérouté mais je sais qu’il nous faut avancer malgré et « avec » ce drame. Il faut que cette haine envers un enfant donne encore plus de sens à l’amour qu’on doit leur porter. Il est de notre conscience collective de faire un pas, quel qu’il soit, dans le sens de la vie pour honorer l’enfance, pour la protéger aussi.
Probablement que j’ai compris à cet âge le pouvoir des vêtements, le bien être qu’ils peuvent nous permettre de ressentir, l’influence qu’ils peuvent avoir sur notre manière de nous affirmer ainsi que le regard que les autres auront sur ce que l’on dégage.
Aux yeux de cette enfant je n’étais pas qu’Alain Dumas, j’étais un confident dont elle avait grandement besoin, j’étais une oreille dans sa solitude, une petite mais réelle lumière dans sa noirceur.
Les mots que l’on offre comme réconfort peuvent quelquefois sembler futiles, mais c’est tout l’amour et la confiance de celui qui les dictes qui vient leur donner un pouvoir.
Quand on me demande ce qui me plaît de l’époque de Frank Sinatra, j’ai en tête (avant même de penser...